Changer de réseau social, pourquoi est-ce difficile ?

⚠ Ce billet date du 27 septembre 2016 !
Il est donc ancien, les propos ne sont peut-ĂȘtre plus exacts aujourd'hui et le contenu et les liens ne sont plus assurĂ©s.

De plus en plus de personnes se soucient de leur sĂ©curitĂ© et de leur vie privĂ©e. Qu’ils soient toujours sur Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat, MySpace et bien d’autres, ces rĂ©seaux sociaux qui ne respectent pas votre vie privĂ©e et ça fait beaucoup rĂ©flĂ©chir.

Pourtant, il existe des alternatives, libre et ou open source et ou décentralisé.

Les réseaux que (presque) tout le monde connait

Facebook

Twitter

Mais pourquoi ces réseaux cartonnent ils ?

DĂ©jĂ  c’est gratuit, il y a des millions de personnes dessus dont beaucoup d’artistes et autres people de la tv, du cinĂ©ma, du thĂ©Ăątre etc…
Parce que ces rĂ©seaux sont viraux, ils sont soignĂ©s, ultra simple d’utilisation, c’est donc « user-friendly ». Et Ă  y regarder de plus prĂšs, on a trĂšs peu de libertĂ© de rĂ©daction. En effet sur Twitter par exemple, vous pouvez mettre ce que vous voulez… en 140 caractĂšres… Sur Facebook c’est un nombre de caractĂšres illimitĂ©s, mais aucune mise en forme possible ni sur Facebook ni sur Twitter. On peut y ajouter des images, un lien, une vidĂ©o, c’est Ă  peu prĂšs tout !

On y est donc limitĂ©, mais vu que l’on ne peut rien y faire, on subit et ça nous convient trĂšs bien.

Les Alternatives :

Diaspora*

capture

Friendica

capture

Movim

movim_groupes21

GNU Social

gnu_social_web_frontend_with_swedish_localization1

Quitter (Variante de GNU Social)

MĂȘme si ces rĂ©seaux sociaux dĂ©centralisĂ©s ont une communautĂ© grandissante, beaucoup sont ceux qui sont venus, qui ont vu et qui n’Ă©taient pas convaincus.
Lors de mes recherches, j’avais dĂ©couvert le français Movim :

Et sa version 2016 :

movim_groupes21

L’aspect visuel m’a beaucoup plu, cela avait un aspect pro et donc rassurant. Mais l’inscription Ă  l’Ă©poque Ă©tait une vraie catastrophe.
Movim est basé sur le protocole XMPP et exploite ses possibilités bien au-delà du simple tchat.
Pour s’inscrire sur Movim Ă  ce moment-lĂ  il fallait d’abord crĂ©er un compte jappix puis accĂ©der Ă  son espace sur le site principal de Movim ou depuis l’un des serveurs. AprĂšs cette galĂšre on pouvait y dĂ©poser des contenus, mais lĂ  encore c’Ă©tait assez compliquĂ©, il n’y avait pas de « Mur », en tout cas, pas clairement prĂ©sentĂ©. Par contre, son plus gros point fort Ă©tait le tchat. Movim est en quelque sorte un rĂ©seau de blog, on crĂ©er son espace, on y fait des billets et on s’abonne Ă  d’autres blogs. En gros c’est un peu ça le concept (si je me trompe, rectifiez-moi).
Je dis « à ce moment-là » car je ne m’y suis pas rĂ©inscrit, j’ai juste Ă©tĂ© voir l’Ă©volution avec mon compte crĂ©er Ă  cette Ă©poque !

Sa difficultĂ© de prise en mains m’avait poussĂ© vers la porte de sortie.

J’Ă©tais tombĂ© sur Friendica, je l’ai alors installĂ© sur mon serveur mutualisĂ©, mais mon expĂ©rience fut catastrophique. Rien ne semblait fonctionner correctement. MĂȘme rien ne fonctionnait hors mis en « local », ce qui venait de mon serveur. J’ai d’abord cru que c’Ă©tait un rĂ©seau social centralisĂ© (je ne connaissais qu’Ă  peine le principe de rĂ©seau social dĂ©centralisĂ©), en fait, ce que je ne savais pas, c’est qu’il fallait attendre un peu (au moins 12 Ă  24h) pour que tous les serveurs se fĂ©dĂšrent. Ça je l’ai appris bien plus tard !

Par la suite, j’ai dĂ©couvert Diaspora* :

Alors, Diaspora* c’Ă©tait sympa, beau, mais sans plus, claire et en grosse parti intuitif.
J’ai alors choisi de m’inscrire sur l’un des POD (c’est comme ça qu’ils appellent les serveurs) et d’en prendre un Français, j’ai donc choisi le seul Ă  cette Ă©poque me semble-t-il, diaspora-fr.org.

J’y ai dĂ©couvert des personnes trĂšs sympathiques, les discussions sont largement plus riches et plus censĂ©s que sur Facebook ou Twitter.
C’est en utilisant Diaspora* que j’ai compris comment fonctionnait les rĂ©seaux sociaux dĂ©centralisĂ©es, j’ai alors compris que ce que l’on appelle la fĂ©dĂ©ration, le fait que les serveurs communiquent ensemble, ne fonctionnait correctement qu’aprĂšs avoir ajoutĂ© des contacts inscrit sur divers serveurs, j’ai alors compris mon erreur d’apprĂ©ciation de Friendica. Ce n’est pas qu’il ne fonctionnait pas, c’est que ça n’avait pas fĂ©dĂ©rĂ© avec les autres serveurs.

L’avantage de ces deux derniers c’est qu’ils communiquent ensemble ainsi qu’avec GNUSocial et Quitter.

J’essaierais de faire un billet sur chacun des rĂ©seaux prochainement.

Ouais, dans 10 ans !

Ah merde, je t’avais oubliĂ© toi ! Non, promis, pas dans 10 ans !

J’ai donc par la suite voulue aller plus loin et ĂȘtre maĂźtre de mes donnĂ©es, j’ai voulu installer mon POD Diaspora* mais… C’est dĂ©veloppĂ© en Ruby On Rails… Je ne connais pas, pas assez geek pour ça 🙂
Naturellement, j’ai un serveur PHP, je ne vais pas payer un 2nd serveur pour y mettre mon rĂ©seau social ! Alors, je me suis tournĂ© vers Friendica. Je l’ai installĂ© avec beaucoup de facilitĂ© et ça marchait trĂšs bien !
Sur ce rĂ©seau je me suis fait de nouveaux copains, mais de vraies personnes que je connais tel que des anciens Ă©lĂšves de mon Ă©cole ou encore des membres de ma famille et des amis proches, c’Ă©tait plus vide que le Sahara ! Il n’y avait qu’un couillon de pote 😉 et mon frĂšre. Lorsque j’essayais de faire venir des personnes, ils Ă©taient rĂ©ticents.

Mais pourquoi-t-il donc !

Bien Ă©videmment, les rĂ©seaux sociaux alternatifs sont dĂ©veloppĂ©s par des bĂ©nĂ©voles, il n’y a pas de sociĂ©tĂ©, c’est une fondation ou association qui est derriĂšre tout ça. Les dĂ©veloppeurs font ça sur leurs temps libre. Et en Ă©tant bon critique on peut facilement dire que ces rĂ©seaux sont trĂšs bien foutus, techniquement parlant.
Le soucis dans l’histoire c’est que l’utilisateur lambda n’est pas forcĂ©ment au courant de cela. Mais lorsqu’on leur dit, ils ont tout de suite l’image d’un truc rĂ©servĂ© aux geek en herbe !

Ce n’est pas totalement faux non ?

C’est vrai, que ce soit Diaspora* ou Friendica ou les autres, l’inscription pour un non initiĂ© est un enfer.

Comment ça « un enfer » ?

Je vais vous expliquer en image. Lorsque l’on veut s’inscrire sur Facebook par exemple, on fait http://www.facebook.com ou au pire Google.fr => facebook => facebook.com et de lĂ , nous avons ceci :

Inscription Facebook

Donc, lĂ , c’est simple, soit nous avons dĂ©jĂ  un compte et on s’identifie en haut, soit on crĂ©e un compte via le formulaire « Inscription ». C’est clair, simple, prĂ©cis.

Pour Diaspora* par exemple (mais c’est valable pour Friendica et ses copains !) :

On va faire instinctivement http://www.diaspora.com et on va tomber lĂ -dessus :

diaspora.com

Ce n’est pas tout Ă  fait ce Ă  quoi l’on s’attendait. Pour cause, des petits malins se sont amusĂ©s Ă  acheter le nom de domaine, rendant l’achat par la fondation impossible et donc l’accessibilitĂ© moins facile… Alors, dans ce cas on va faire www.google.com => Diaspora et on a :

Google Diaspora

C’est dĂ©jĂ  mieux ! Mais lĂ  encore, un utilisateur lambda est un peu perdu !

Comme je le disais plus haut, Facebook et Twitter entre autres, nous ont formatĂ© Ă  un certain type de visuel, Ă  une certaine façon d’utiliser un rĂ©seau social, ils ont crĂ©e la dĂ©finition du mot rĂ©seau social !
Alors, lorsque l’on arrive sur un autre rĂ©seau social on veut « instinctivement » retrouver la mĂȘme chose et puis pourquoi quitter un rĂ©seau pour un autre si sur cet autre rĂ©seau je ne peux pas faire les actions basiques du rĂ©seau prĂ©cĂ©dent ?

Que dois-je retrouver sur ces réseaux sociaux alternatifs ?

  • Une barre en haut de page qui rappelle le nom du rĂ©seau, des yoli icĂŽnes qui me parlent et me permettent de savoir si j’ai une notification.
  • Garder les termes des autres rĂ©seaux. Une notification est une notification et pas autre chose.
  • Avoir un mur. Et ça c’est trĂšs important, c’est lĂ  que vont se trouver mes billets, mais aussi les billets de mes contacts ou amis. Peu importe comment vous designez le mur, il doit ĂȘtre visible et lisible.
  • Avoir un ou des systĂšmes de vote, les « likes », (Ă©vitez les « dislikes »), ou des mises en favoris, sans oublier le repartage.
  • Pouvoir devenir amis ou s’abonner Ă  quelqu’un doit ĂȘtre simple, tellement simple qu’un gamin de 5 ans peut le faire sans aide.
  • Avoir de la couleur, ĂȘtre chaleureux.
  • Avoir un design simple et Ă©purĂ©, dans l’Ăšre du temps, moderne et lisible.
  • Avoir des Ă©lĂ©ments graphiques pour ĂȘtre convivial (des Emoji par exemple).
  • Avoir des choses carrĂ©s et rangĂ©s, par exemple, il ne faut pas s’Ă©parpiller avec un menu Ă  droite, un Ă  gauche, un en bas, un bouton menu, des infos mĂ©langĂ©s, Aide, Invitez vos amis, ParamĂštres, Compte, Mon flux, Profil etc… misent n’importe comment et n’importe oĂč !

Que doit m’apporter de plus ce rĂ©seau alternatif ?

Alors ce n’est que mon avis, j’ai tout de mĂȘme menĂ© mon enquĂȘte, mais rien d’extraordinaire qui permettrait d’en tirer des infos concluantes.

  • Une expĂ©rience utilisateur simple (ouais, l’inscription est une plaie, on ne va pas non plus galĂ©rer Ă  vie sur le rĂ©seau…)
  • Une plus grande libertĂ© de rĂ©daction, mise en forme, longueur du contenu etc…
  • La possibilitĂ© de croisĂ© d’autres services, mon flux Facebook, Twitter, mes flux RSS etc… Ça permet de transiter en douceur !
  • Être adaptĂ© sur smartphone et tablette.
  • Avoir une application est un gros plus.
  • Avoir des modules Chrome ou Firefox pour partager d’un clic des articles est aussi un gros plus.
  • Un tchat, trĂšs important !!!!

Dans mon expĂ©rience utilisateur, celui qui se rapproche le mieux de ce que doit m’apporter un rĂ©seau social alternatif est…

Roulement de trompettes !!!!!!!!!!!!!

Et bien… Quitter ! Car il est un calque de Twitter, ça permet de venir en douceur sans ĂȘtre trop perturbĂ©. Mais comme je ne kiff pas Twitter… Bah… Aucun !

Ah bah tiens, je me disais « t’es pas encore casse couilles, qu’est-ce qui se passe ? »

Ils ont tous un peu de chaque, mais tous leurs gros défauts, alors ça me frustre, je suis assez insatisfait !

Bah t’a qu’Ă  aider au dĂ©veloppement pauvre type !

Je ne suis pas professionnel du milieu, et j’ai dĂ©jĂ  beaucoup d’autres activitĂ©s qui m’en empĂȘchent !

Actuellement je suis sur Diaspora* car ce n’est pas le meilleur, mais c’est le « moins pire » de tous ! Et puis c’est mes potos Augier et Dada qui tiennent le POD diaspote !

Je vais donc faire un article par réseau social décentralisé et je vous ferais mes retours en espérant apporter quelque chose de constructif qui pourra aider ou guider les développeurs de chaque réseaux !

Et vous ? Donnez votre avis, votre expérience !

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5 comments on “Changer de rĂ©seau social, pourquoi est-ce difficile ?

  1. Avatar de · SтeғOғғÎčcÎčel ·

    L\’ⒶlternⒶctiviste

    Je confirme, changer de rĂ©seau social c’est dur ^^ Pour prendre mon exemple personnelle avant, je ne connaissais que Facebook que je n’apprĂ©ciais pas et Twitter et Tumblr que affectionnais pour leurs simplicitĂ©s.

    Puis plus tard je me suis posĂ©e la question du choix d’un rĂ©seau social alternatif. J’ai entendu parler de Diaspora, mais je me suis tellement perdue dans l’inscription, le fait que je croyais Ă  tord qu’il fallait forcement l’installer et l’auto-heberger chez soi etc. Fais que j’ai vite abandonnĂ©.

    Au final comme rĂ©seaux social j’ai plutĂŽt choisi on va dire la simplicitĂ© en m’inscrivant sur un rĂ©seau social centralisĂ© (dans le sens non auto-hĂ©bergĂ©) du nom de TheChangebook, un rĂ©seau militant. Je me suis fais pas mal de contact sur ce rĂ©seaux oĂč j’apprĂ©cie les outils, mais je n’y retrouvĂ© plus la simplicitĂ© des sites de « microblogging » comme Tumblr ou Twitter.

    Il a fallu que j’entende parler dans une Nuit Debout de FramasphĂ©re pour m’intĂ©resser 4 ans plus tard Ă  nouveau Ă  Diaspora. A partir de ce moment j’ai pu tester enfin diaspora avec un formulaire d’inscription aussi simple que sur Twitter. Bon au dĂ©but l’habillage et la maniĂšre d’utiliser la syntaxe Markdown qui me forçait au copier-coller depuis une autre page pour la mise en page des textes m’a un peu rebutĂ©e et freinĂ©e dans mon utilisation de Diaspora. Mais tout Ă  changer avec l’arrivĂ©e de…Diaspora0.6 si je ne me trompe pas. D’un coup le site Ă©tait bien plus proche de ce que j’Ă©tais habituĂ©e voir sur mes autres rĂ©seau microblogging la possibilitĂ© de changer la couleur du thĂšme m’enchantai et les raccourcis des syntaxe Markdown directement sur la zone de texte m’a encouragĂ© Ă  redevenir active sur Diaspora.

    Depuis je ne peux plus me passer de Diaspora qui est mon rĂ©seau plutĂŽt « microblogging » style Tumblr (sans la forte possibilitĂ© de personnalisation de thĂšme) Twitter. prĂ©fĂ©rĂ© et que j’utilise en complĂ©ment de TheChangeBook. Mais il m’a fallu 4 ans pour m’y mettre ^^

    • > les raccourcis des syntaxe Markdown directement sur la zone de texte m’a encouragĂ© Ă  redevenir active sur Diaspora.

      Je suis heureux de lire ceci ! Pendant pas mal de temps je me suis tuĂ© Ă  dire que la syntaxe Markdown, c’est bien, mais c’est pas « user-friendly » ! J’avais le droit Ă  des remarques du genre « Ouais mais tu ne fais pas d’effort, ça s’apprend vite » etc… Non, juste non, comme je le dis dans l’article « l’inscription est une plaie, on ne va pas non plus galĂ©rer Ă  vie sur le rĂ©seau  » !!!
      Il a fallut que mon poto @Augier, qui Ă©tait assez d’accord avec moi sur ce point, l’implĂ©mente et « force » l’implĂ©mentation ! Sans quoi… On serait sĂ»rement encore en train de le faire Ă  la mimine ^_^

      Je ne connais pas « TheChangebook », pour mes articles suivants j’irais sĂ»rement faire un tour pour voir !

      Merci de ton retour d’expĂ©rience !

  2. L’habitude, la communautĂ© qu’on a fini par crĂ©er, tout cela retient le changement.

    Il m’a fallu un Ă©niĂšme scandale (censure de la photo du Vietnam) sur Facebook, pour que je fasse la dĂ©marche. Il y avait dĂ©jĂ  quelque temps que ça me dĂ©mangeait… Je n’ai pas d’autre rĂ©seau, je trouve que j’y passe dĂ©jĂ  assez de temps…

    J’ai trouvĂ© FramasphĂšre*, je ne sais plus trop comment ! Peut-ĂȘtre bien une info sur FB ! Inscription trĂšs facile, apprendre l’utilisation de base est assez aisĂ© grĂące au soutien trĂšs rĂ©actif du site et de la communautĂ©.

    Autre rĂ©seau, autre fonctionnement : beaucoup moins labile que FB qui encourage l’enlisement d’Ă©changes sur-rĂ©actifs, et surtout, qualitĂ© des contenus. Notamment pour les sujets techniques/scientifiques.

    J’essaye aussi d’y attirer les meilleurs de mes amis, certains sont tentĂ©s, un seul m’a rejointe. Mais on en trouve d’autres, certains suffisamment prolifiques pour qu’en pĂ©riode d’adaptation on ne s’ennuie pas !

    AprĂšs deux ou trois mois, je suis toujours sur FB (tous mes amis rĂ©els, famille… y sont), mais Ă©galement sur FramasphĂšre*. ConsĂ©quence de sa sobriĂ©tĂ©, je ne reçois que les activitĂ©s de FramasphĂšre* sur ma BAL.

    A terme ce qui pourrait vraiment lancer les rĂ©seaux alternatifs en vĂ©ritable autonomie, serait une fĂ©dĂ©ration de la banque de donnĂ©es « utilisateurs » – je n’ai aucun idĂ©e de la faisabilitĂ©, mais c’est l’idĂ©e. C’est en effet un des grands avantages des rĂ©seaux : crĂ©er du lien !

    • Salut ! Je n’ai pas vraiment compris ton dernier point :

      > A terme ce qui pourrait vraiment lancer les rĂ©seaux alternatifs en vĂ©ritable autonomie, serait une fĂ©dĂ©ration de la banque de donnĂ©es « utilisateurs » – je n’ai aucun idĂ©e de la faisabilitĂ©, mais c’est l’idĂ©e. C’est en effet un des grands avantages des rĂ©seaux : crĂ©er du lien !

      Tu peux développer ton idée ?

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